*NdT : qu’on peut aussi traduire, plus précisément, par : « j’ai enfin terminé mon manuscrit ! »
You know what? I’m happy!
*NdT : qu’on peut aussi traduire, plus précisément, par : « j’ai enfin terminé mon manuscrit ! »
You know what? I’m happy!
Bon.
Je viens de voir que mon dernier billet date d’avril 2016…
Comment vous dire…
Est-ce que ça se sent que j’ai un poste d’ATER à temps plein depuis septembre 2016 et que je suis en pleine rédaction de ma thèse ?
Quelques infos tout de même au passage : j’ai la ferme intention de soutenir en 2018 (Yey!) et… je cherche du boulot. Je suis dispo à partir du 1er septembre 2018, donc si ça vous intéresse et/ou que vous pensez que d’autres peuvent être intéressé-es, n’hésitez pas à diffuser l’info : profil LinkedIn et page perso. D’avance merci 🙂
Sinon, j’ai plein d’idées de billets, mais pas le temps, donc encore un peu de patience… #staytuned
A bientôt !
Pas besoin de faire un dessin, quiconque s’est déjà trouvé à contempler désespérément sa belle page blanche, sur écran ou sur papier, comprend sans doute où je veux en venir…
Une initiative très intéressante, qu’il faudrait généraliser dans toutes les écoles doctorales, a été enregistrée en vidéo et est accessible librement.
Il s’agit de l’école doctorale d’été EED Unistra 2015 qui s’est donné pour objectif de répondre en une semaine aux besoins concrets des doctorants concernant la thèse.
J’ai particulièrement apprécié l’intervention de Thierry Olive, chercheur au CNRS en psychologie cognitive, qui s’intéresse à la production de l’écrit. La vidéo intéressera plus largement que les doctorants, car il s’agit de comprendre ce qui se passe dans notre cerveau lorsque nous écrivons, et ce que l’écriture produit sur nous. Regardez plutôt : (en cas de difficulté avec la vidéo intégrée, essayez par ce biais)
Pour la seconde vidéo ci-dessous, le titre est particulièrement bien choisi et interpelle directement la doctorante que je suis : « Assieds-toi et écris Ta thèse ! » Cette autre intervention, de Geneviève Belleville, professeur adjointe à l’Université de Laval en psychologie, est également captivante car elle semble promettre (enfin !) des solutions pour calmer l’anxiété constante du « je dois rédiger ma thèse ». Leitmotiv qui n’avance à rien et n’aide pas du tout à rédiger, mais que tous les doctorants que j’ai croisés ont en commun. Effectivement, j’ai retenu quelques conseils applicables et utiles, et qui sont surtout remis en contexte et expliqués, voyez vous-même : (en cas de difficulté avec la vidéo intégrée, essayez par ce biais)
Après tout ça, yapuka : à vos agendas, prenez rendez-vous avec vous-même ! 😉